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Le Pen - Page 12

  • Ces élus qui se mettent dans l’illégalité

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les décisions contradictoires des élus de gauche quant à l’accueil des enfants dans les écoles en cas de grève montrent qu’il existe une gauche qui respecte encore les lois, et une gauche qui n’hésite plus à se mettre hors la loi.

    Ces élus qui se mettent ouvertement dans l’illégalité sont confortés par l’inertie des autorités lors de leurs innombrables actions illégales en faveur des clandestins.

    Les parents d’élèves apprécieront en outre de voir comment ces élus, qui n’ont à la bouche que les mots de solidarité et de respect, se moquent des difficultés qu’entraînent pour les familles les grèves à répétition dans l’Education nationale.

  • Rouillan et Besancenot

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le communiste terroriste Jean-Marc Rouillan, théoriquement condamné deux fois à la perpétuité, était en semi-liberté. Il en a profité pour laisser entendre qu’il ne regrettait pas l’assassinat de Georges Besse et de René Audran, et pour affirmer la nécessité de la « lutte armée », donc de l’action terroriste et du meurtre des « ennemis de classe ».

    Il est donc, heureusement, retourné en prison.

    Cet impromptu judiciaire aura eu l’avantage de nous faire savoir que Jean-Marc Rouillan avait l’intention de rejoindre le nouveau parti anticapitaliste de M. Besancenot, et que celui-ci n’y voyait aucune objection.

    Voilà qui jette une lumière crue sur ce parti, et sur son chef qui juge normal de s’entourer de terroristes.

    Personne ne pourra dire : « On ne savait pas. »

  • Le Pen et la crise financière

    Dans une conférence de presse qu’il a tenue ce matin, Jean-Marie Le Pen a rappelé qu’il avait prévu, lors de sa conférence de presse du 24 juin, ce qui est en train de se passer. Il donne la position du Front national et en appelle à une « nouvelle gouvernance Economique et Sociale » au service de la France française et de l’Europe des nations. C’est à lire sur le site du Front national.

    Voici quelques extraits du constat :

    L’incapacité des Etats et des institutions internationales - Fonds Monétaire International, Banque Mondiale, Banques centrales, etc - à juguler cette crise économique, bancaire et financière, d’ailleurs sans précédent, démontre que le modèle ultralibéral de l’euro- mondialisme ne fonctionnera jamais.

    D’ailleurs à Strasbourg, la Tour de Babel a commencé de se désagréger.

    En effet, l’opportunisme des dirigeants politiques et économiques face au naufrage du système financier et monétaire les conduit maintenant à préparer un retour à l’Etat-Nation tel que le FMI l’annonce aux pays membres de l’OCDE.

    C’est là un véritable paradoxe lorsque l’on sait que son patron Monsieur Strauss-Kahn s’est toujours déclaré libéral-socialiste et européiste.

    Mais, il fallait s’y attendre !

    Au fur et à mesure que les interventions sur le « marché international» s’avèrent inopérantes, de plus en plus de voix interpellent les pouvoirs publics nationaux pour exiger qu’ils refinancent purement et simplement les faillites afin d’enrayer cet effondrement progressif.

    Le Front National, attaché à la liberté économique ainsi qu’à la défense des intérêts des Français, s’y oppose catégoriquement et demande aux institutions Européennes ainsi qu’aux politiques Français de ne pas se porter au secours des spéculateurs de la haute finance internationale pour combler les pertes et dépréciations d’actifs.
    Les responsables et coupables de ce chaos financier doivent l’assumer. Ce n’est pas aux Etats-Nations de supporter la dérive d’un système bancaire et monétaire devenu fou. Ce serait mettre en place, à terme, un nouvel asservissement des peuples.

    (…)

    Cette crise financière, résultat de tous ces errements, de l’asservissement insupportable des élites politiques aux puissances économiques, entraîne maintenant le paiement de ces erreurs dramatiques par tous les citoyens du monde et en particulier par les classes moyennes et les plus pauvres.

    C’est l’appel au secours des apprentis sorciers de la finance et de leurs complices politiques à la Nation, à l’Etat et aux citoyens dont pourtant on refuse de reconnaître la volonté, comme le montrent les referendums sur l’Europe.

    Il est piquant de voir les Etats-Unis, pays le plus « libéral » du monde, nationaliser à tour de bras au nom de l’intérêt national et de voir, de Sarkozy à Royal, tous les bradeurs de la souveraineté nationale dans l’Europe de l’ultra-libéralisme qu’ils ont voulu, chanter maintenant les mérites de la Nation et de l’Etat régulateur.

  • La vérité sur le chômage

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Il est proprement indécent de prétendre, comme le fait le gouvernement, que la hausse du chômage serait due aux « chocs » du pétrole ou des changes, et il est plus indécent encore d’en rendre responsable la toute récente crise financière mondiale.

    Si en France il y a eu officiellement plus de 41.000 chômeurs en août, en Allemagne il y en a eu 40.000 de moins.

    Et 40.000, c’est le nombre total des chômeurs au Danemark, où il n’a jamais été aussi bas.

    Aux Pays-Bas ou en Pologne, le chômage a continué de baisser en août.

    Nicolas Sarkozy ne cesse d’affirmer qu’il faut dire la vérité aux Français. La vérité, c’est que son gouvernement et lui-même mentent aux Français. Et que ses promesses de campagne sont désormais à ranger définitivement au rayon des mystifications.

  • Le sempiternel show Sarkozy

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nous avons eu hier soir un nouveau show Sarkozy. Le spectacle est bien rôdé, mais c’est toujours le même depuis la campagne présidentielle, et il est en décalage de plus en plus criant avec la réalité.

    C’est un alibi facile de dire que la crise financière mondiale actuelle « aura des conséquences dans les mois qui viennent sur la croissance, sur le chômage, sur le pouvoir d'achat ».

    La croissance, le chômage et le pouvoir d’achat ne cessaient de se dégrader avant la crise financière. Elle est là, « la vérité », et c’est celle que le président de la République tente de camoufler par ses sempiternelles promesses.

  • Les sommets de M. Sarkozy

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    A l’Assemblée générale des Nations Unies, Nicolas Sarkozy a proposé un sommet pour "réfléchir ensemble aux leçons à tirer" de la crise financière internationale. Et il a proposé que ce soit lors de la réunion du G8 en novembre.

    Cela s’appelle enfoncer les portes ouvertes. Car si les sommets du G8 ne servent pas à ce genre de réflexion, à quoi servent-ils donc ?

    On a surtout l’impression que Nicolas Sarkozy, comme les autres orateurs du reste, se contente de paraphraser Cocteau :

    Ces choses-là nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs.

  • Un faux débat sur l’Afghanistan

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    En l’absence de toute véritable opposition, c’est un faux débat qui a été organisé à l’Assemblée nationale sur la présence française en Afghanistan.

    Le Premier ministre en a profité pour annoncer l’envoi de moyens supplémentaires : des hélicoptères, des drones, des mortiers, « avec les effectifs correspondants, soit une centaine d'hommes ».

    C’est proprement dérisoire. Si l’on veut vraiment tenter de vaincre les talibans, il faut engager des forces considérables. Mais la France, qui de toute façon n’a pas à se substituer aux Etats-Unis d’Amérique, n’en a pas les moyens.

    François Fillon en tire lui-même les conséquences : ce choix n'ira pas « sans probables pertes ».
    Des jeunes Français trouveront encore la mort dans ce pays, sans avoir rendu aucun service à la France.

    On note aussi que le Premier ministre n’a pas évoqué l’actuelle extension du conflit au Pakistan, ni l’éventualité d’une participation des soldats français dans cette escalade.

    N’en déplaise à François Fillon, il ne peut pas y avoir de « consensus national » sur cette mauvaise politique qui n’est pas nationale.

  • Le « réalisme » de M. Juncker

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Selon le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, il n’est « pas réaliste » de penser que le traité de Lisbonne puisse entrer en vigueur avant les élections européennes de juin 2009.

    Voilà qui va fortement déplaire à Nicolas Sarkozy, qui imagine pouvoir mettre au pas les Irlandais d’ici là.

    Mais il n’est pas plus réaliste de penser, comme il le dit ensuite, qu’il entrera en vigueur « vers le 1er janvier 2010 ».

    Le traité de Lisbonne est juridiquement mort et enterré depuis le référendum irlandais. Le plus élémentaire réalisme serait de le reconnaître et d’en tirer les conséquences.

  • Le nouveau référendum en Irlande

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les hommes politiques irlandais et européens se sont mis d'accord sur une stratégie commune : l'Irlande devra revoter sur le traité de Lisbonne, avec éventuellement quelques déclarations interprétatives sur la fiscalité, l'avortement ou la neutralité qui ne modifient en rien le traité constitutionnel.

    Pour ne pas "polluer" les élections européennes, le referendum aurait lieu à l'automne 2009 afin que le Traité de Lisbonne entre en vigueur un an plus tard.

    Il convient de rappeler que le Traité de Lisbonne est mort depuis son rejet par la peuple irlandais le 12 juin dernier et que les tentatives désespérées de Sarkozy et consorts de le ressusciter sont vouées à l'échec.

    Pour sa part, le Front National fera campagne aux élections européennes sur le NON au traité de Lisbonne et OUI à l'Europe des Nations et des peuples libres.

  • Le Pen : la véritable Europe

    Notre pays doit prendre l’initiative de la constitution d’une Europe des nations de Brest à Vladivostok.

    L’importance démographique, économique, militaire et géopolitique de cet arc boréal permettra de contrebalancer la superpuissance américaine, et celle des grands pays émergents comme la Chine et l’Inde.

    L’Europe de Brest à Vladivostok est d’abord un espace de solidarité culturelle, historique et chrétienne.
    La Turquie n’en fait donc pas partie, car ce pays, ami, n’est européen ni par sa géographie, ni par son histoire, ni par sa religion, ni par sa culture.

    La Grande Europe Boréale est aussi une zone d’intérêts économiques convergents : les immenses espaces riches en énergies fossiles de la Sibérie sont indispensables à l’autosuffisance de l’Europe, et, en même temps, il faut assurer la mise en valeur de ces immensités vides d’hommes, dans une zone qui risque demain de subir le déferlement de la marée démographique asiatique.

    Cette politique de solidarité continentale, conforme à notre géopolitique et à nos besoins, nous sommes les seuls à la défendre.

    Sur ce sujet comme sur bien d’autres, nous sommes la seule opposition, la seule force de contre-proposition.

    (discours de clôture de l'université d'été du Front national)